Le projet Confinés, ensemble! vise à documenter le quotidien des aînés sous la pandémie de la Covid-19. Les participants immortalisent par des photos des moments particulièrement forts pour restituer leur propre histoire de la pandémie. La juxtaposition des témoignages permet de mieux comprendre les enjeux d’un tel contexte pour les aînés et des mesures les concernant.
Si la crise de la COVID nous a tous touchés d’une manière ou d’une autre, elle a eu un impact certain sur la population des ainés. Le projet « Confinés, ensemble » est né de la volonté de comprendre l’expérience de la COVID telle que vécue par cette population, comprendre pour mieux agir en retour.
« Confinés, ensemble » s’adresse aux personnes de plus de 60 ans habitant seules, aux personnes de plus de 60 ans demeurant en résidence pour ainés et aux personnes de plus de 60 ans appartenant à la communauté LGBTQ.
À travers la photographie, qui est un média puissant de communication de même qu’une forme d’art, les participants sont invités à offrir leur point de vue sur les mesures sanitaires, à documenter l’impact de ces mesures sur leur quotidien et leur bien-être, ainsi que les stratégies de résilience qu’ils ont pu mettre en place pour s’adapter à cette situation exceptionnelle.
Les expériences des uns et des autres sont ensuite partagées en groupe lors d’ateliers virtuels qui deviennent des lieux d’échange et de débats. C’est ainsi un petit bout de vie, de même que de chemin qui unit nos participants pendant un temps, suspendu, pour regarder le monde, son monde, autrement.
Confinés, ensemble! est un projet de l’École de la santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM) et du Centre de recherche en santé publique (CResP). Il est rendu possible grâce au généreux soutien du Réseau de recherche en santé des populations du Québec et du CReSP.
Exposition virtuelle
À travers la photographie, qui est un média puissant de communication de même qu’une forme d’art, les participants sont invités à offrir leur point de vue sur les mesures sanitaires, à documenter l’impact de ces mesures sur leur quotidien et leur bien-être, ainsi que les stratégies de résilience qu’ils ont pu mettre en place pour s’adapter à cette situation exceptionnelle.
Diane
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Au Québec. Ce n’est pas si mal !
Marcel
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La vie continue et se renouvelle, il faut l’alimenter en favorisant la présence des fantaisies et des petits bonheurs, cela nous fera oublier nos malheurs…
Margo
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Une très grande possibilité d’exposition de mes peintures sur internet répond à une nouvelle réalité pour moi ; les expositions sont virtuelles, faciles et stimulantes.
Thérèse
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Grisaille, lassitude, atmosphère lourde......malgré la lumière qui est au bout du tunnel !
Diane
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Prise de poids... sans commentaires...
Marianne
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Les mesures de Confinement se sont illustrées par l'installation d'un désert au centre-ville. Un centre-ville muet.
Micheline
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À ce stade-ci de la pandémie je me sens fragilisée. C’est comme si, en l’espace de quelques mois, j’avais vieilli de 10 ans, et alors nécessitais de plus d’appui pour avancer.
El Santo Che
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Les trônes de la vie sont vides.
Thérèse
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Au restaurant pour mon anniversaire, agréable même si je suis presque seule.
Marcel
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Profiter du beau temps pour aller marcher et faire de la photo en milieu naturel.
Diane
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La perte de contact avec la famille.
Marianne
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Le retour à la normale = Pollution et égoïsme
Thérèse
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Je me suis sentie handicapée culturellement et socialement : les concerts, les séances du ciné-club, les activités de la chorale et autres loisirs comme les sorties au restaurant, ont été interrompues du jour au lendemain.
Lisette
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Comment vieillir en santé avec cette vague de consignes restrictives ? Plus de promenades au bord de l’eau, plus de visites, plus d’activités de loisirs dans les espaces communs. Cette peur d’être contaminé par ce virus et de mourir seule une vraie hantise. Des nuits sans sommeil, hélas, suis-je encore moi-même ? Puis les yeux rivés sur cette rivière, source de Vie m’a soudainement réveillée et là plein de projets me sont venus en tête et fort heureusement confortés par ce ‘’ Sois courageuse, ne te laisse pas abattre de ma petite fille’’ quelques heures plus tard. La place était à l’action et non à la désolation.
Diane
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Les repas solitaires
Margo
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L’information du virus rentre par un poste de radio 95,1, Radio-Canada allumé 24 heures sur 24.
Marcel
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On a déjà passé à travers des temps durs, des périodes grises, on va en avoir d’autres.
Thérèse
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De la marche dans ce cadre magnifique, ça ravigote 😊
Diane
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Nourriture pour le corps...
Micheline
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Ces élastiques rouges représentent les mesures de confinement dictées par le gouvernement. Les autres élastiques symbolisent mes moyens d’ajustement. L’un deux est brisé. Il y avait les plans A, les plans B, les plan C… Et aussi ce pénible sentiment d’être discriminée négativement - juste à cause de mes 72 ans, moi une personne autonome, sans aucun problème de santé me rendant vulnérable aux complications de la COVID 19.
El Santo Che
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Maudit jardin qui me fait quitter la quiétude et l'inquiétude. Des bettes marinadine.
Lisette
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Jour après jour, minute après minute comme une virgule le bras en l’air, au 15è étage j’attendais ce moment privilégié où mes enfants et petits-enfants me chantaient leur amour au téléphone du stationnement.
Louise
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Conquérir la peur. Faire appel à la guerrière intérieure. Accepter la mort du monde tel que je l'ai connu et accueillir l'inconnu et l'imprévisible.
Christiane
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Percevoir la lumière. Un arbre majestueux se dresse, la cime aux branches éparses laissent passer les premiers rayons lumineux. Le ciel bleu est réconfortant. Se relever la tête pour voir plus haut, plus loin et capter la lumière. Apprécier ce qui nous est offert par la nature et quelle chance pour moi de vivre tout près d’une rivière et de feuillus.
Lou
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Cette structure m’a rappelé l’écran invisible qui nous sépare des autres humains, cette distance de deux mètres que nous devons assurer entre nous et les autres, peu importe si ce sont des proches ou non. La question du jour : quand pourrons-nous toucher à nouveau d’autres êtres humains, les étreindre dans nos bras?
Juicy-Fraise Juteuse
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Le chemin c'est la direction que j’ai choisie de prendre même si je ne savais pas nécessairement où j’allais, mais je savais qu’en prenant cette direction-là, je mettais suffisamment de gestes dans ma journée pour pouvoir, je dirais, vivre en puissance.
Louise
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Vulnérabilité, insécurité. J’ai fait tant d’efforts depuis quelques années afin de pourvoir à mes besoins. J’avoue avoir eu quelques jours de panique, conséquence de ne plus pouvoir m’approvisionner, devenir dépendante. Au début tout semblait si compliqué.
Lee
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Montréal reverdit, et c’est merveilleux! Comme en témoigne ces deux photos: même décor prises, la première il y un mois, et la seconde aujourd’hui. Gros changement!
Mireille
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Lors des premières semaines l'entrée à la SAQ était interdite aux 70 ans et plus. Ce genre de mesure a permis de développer une HAINE envers les 70 ans et plus.
Francine
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Des mois sans toucher un autre être humain. Moi, personnellement ça fait presque 3 mois et sinon plus, que je n’ai pas touché une autre personne humaine, toucher vraiment. J'en ai vu, de loin, j’en ai vu sur photos, j’en ai vu avec les moyens électroniques, mais les seules choses vivantes que j’ai touchées c'était ma chatte et mes plantes.
Christiane
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La pluie ruisselle sur mon arc-en-ciel. Le temps s’écoule, parfois maussade et larmoyant. De la fenêtre de ma chambre, je ne vois pas la vie animée du quotidien. Mais ça va bien aller!
Camille
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Un pas vers un sentiment de liberté. Y a comme les premiers pas vers un déconfinement, mais en même temps y une peur de beaucoup de résidents que je sens très réfractaires à la… au retour à une vie normale. Mais enfin, on verra.
Juicy-Fraise Juteuse
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Je suis sortie du confinement, j'ai le vent dans les voiles.
Francine
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Si je mange au balcon, c’est parce que je suis au-dessus du resto du coin et que je me sens moins seule.
Louise
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Belle rivière à la fois douce et puissante. Je te contemple et tu m’apaise. Malgré tous les mauvais traitements que l’on te fait subir, immuable tu charrie les gouttes d’eau qui viennent à toi pour poursuivre leur périple.
Claude
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Les affiches dans les commerces semblent lancer un appel à l’aide. Je sais que tout ça va finir mais je suis certain que beaucoup de comportements, et d’habitudes vont changer. J’ose espérer que tous en tant que société nous prenions conscience de ce que nous avons à réparer.
Chloé
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Toujours pas très clair cette histoire du masque. J’ai donc acheté ma visière qui ne cache pas mon beau visage. Je peux le nettoyer après chaque usage et le réutiliser.
Lou
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En ce début d’été, je me permets de roupiller dans un hamac, à l’ombre, au parc Maisonneuve, qui est devenu mon refuge urbain depuis le début de la pandémie.
Claude
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Les masques. Le fait que ce ne soit pas obligatoire me dérange. Même si je trouve que le port du masque est inconfortable, je m’y résous car je crois que nous devons tous faire notre part pour vaincre ce fléau.
Juicy-Fraise Juteuse
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Ombre et Lumière. L'un ne va pas sans l'autre. On s’entrainait, on avait des habitudes alimentaires et tout ça. Pour moi tout s’est arrêté quand j’ai dû arrêter l’entrainement et ç’a réveillé mes ombres.
Francine
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Réseaux sociaux. Une aide appréciable.
Camille
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Un monde codifié. Pour moi on va vivre dans un nouveau monde codifié, extrêmement codifié. Je ne pense pas que ça revienne comme c'était, qu’on a la même insouciance.
Louise
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J’ai fait un inventaire de mon congélateur après avoir fait un peu de cuisine en prévention.
Louise
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On m'informait que j'appartenais à une catégorie de personnes (les 70 ans et plus) qui étaient à risques de développer des complications de Covid-19, ou même d'en mourir. Connaissant rien de ce virus, j'ai accepté le confinement tout en me sentant très vulnérable.
Claude
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Même si généralement je ne me fais pas du mouron avec ma coiffure, après plus de deux mois, je commence à trouver que ça suffit. Je suis impatient.
Micheline
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Coucher de soleil à partir de mon balcon. Réconfort et admiration du spectacle haut en couleurs.
Jean-François
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On profite ainsi du confinement pour faire le grand ménage.
Louise
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Transcender les limites du possible. Aujourd'hui, je me sens différente de la personne que j'étais il y a 3 mois. J'écoute moins les nouvelles. Je vois cette pandémie comme un choc, une crise qui me relie au monde entier. Je deviens plus consciente des inégalités, des préjugés et de nos vulnérabilités humaines.
Chloé
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Ecrire dans mon journal. C'est une méditation, une façon de se rapprocher de soi.
Francine
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Stigmatisation douloureuse. Et j’ai trouvé que dans le discours, soit télévisuel ou bien sur les médias ou bien que de toute façon y avait une certaine stigmatisation par rapport à ces trois termes-là, que je porte physiquement. Alors c'est pour ça que je les ai écrits.
Jean-François
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Comme un coffre de survie - mes therabands. Le Gym me manque… J’allais y faire mes exercices physiques presque tous les jours très tôt le matin.
Francine
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Attendre pour entrer dans le dépanneur.
Claude
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Du jour au lendemain à la résidence de voir tous les espaces fermés avec des rubans de signalisation, de ne pouvoir sortir de la résidence, de ne pouvoir prendre dans mes bras mes enfants et petits-enfants, de ne pouvoir côtoyer mes amis m’a créé un choc. Je comprenais la raison de ce branle-bas mais cette perte de liberté m’était intolérable.
Louise
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Tempus fugit ; suite à l’annonce du confinement et donc de l’arrêt soudain de nos activités extérieures je n’étais pas la seule à me demander ce que je ferais de mes journées. C’est comme si le temps s’était arrêté. Et puis les jours puis les semaines passant j’ai constaté que de façon étonnante le temps s’écoulait très vite.
Lee
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Le premier masque, je me le suis fabriqué avec une paire de bobettes. Pas pratique du tout. Mon deuxième était un peu mieux. Comme il était ajouré, il me permettait de bien respirer. Comme j'ai des problèmes respiratoires, j'ai parfois de la misère avec les masques. Mais mon voisin de palier, qui m'a vue avec ça dans le visage, trouvait que ça ne protégeait pas beaucoup......Alors, il m'a offert celui-ci en cadeau. Magnifique ! Double épaisseur avec filtre à l'intérieur. Fabrication de l'organisme BIEN ALLER. Et, finalement, je me suis acheté celui-ci. Moins élaboré que celui offert par mon voisin, mais je l'aime bien. Je respire bien avec.
Çamedit
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Ça c'est une vue de mon balcon, c'est quand je reçois du monde, j’ai mis deux chaises sur le deck et moi je suis sur le balcon. Je trouve ça fou, mais nécessaire.
Louise
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J’ai moins de rapports sociaux et de plus courte durée. Je mets un masque dans les lieux publics fermés et les commerces, mais je ne le porte pas en plein air. Le respect est une priorité dans mes rapports avec l’autre… où en es-tu avec les règles?? Certains sont scrupuleux à les laisser tomber, d’autres ne les ont jamais respectés.
Chloé
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Teinture manquante. Très rare que j'ai une repousse. Alors je fais attention, mais c'est juste pour dire que, le look, l’apparence a pris le bord. Ça fait du bien d’une certaine façon.
Micheline
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Signes au marché de fruits et légumes. Heureuse de constater que des mesures sont prises pour respecter la distanciation, difficile à respecter à l’intérieur du marché.
Francine
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Les mesures de confinement je les accepte pour moi et pour l’ensemble de la population. Je porte le masque, je me lave les mains très souvent, je respecte la distanciation sociale, je désinfecte tout ce qui doit être désinfecté. Je suis une personne responsable, nullement sénile comme semble le penser le gouvernement. Je ne pensais pas que mon âge ferait de moi une personne à exclure de la vie. Cela me révolte. C’est de l’ignorance et purement de l’âgisme.
Louise
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Quand je veux prendre le temps de m’arrêter, est-ce que je m’assois sur mon steak moi qui suis en bonne santé ?? Est-ce légitime de vouloir plus de temps pour avoir du plaisir, quitte à en payer le prix (moins de sous à mes enfants) au propre comme au figuré (risque de rejet ou d’abandon en m'investissant moins dans leurs vies.). Ces questions sont effrayantes pour quiconque de l’extérieur regarde une personne âgée croyant qu’elle a résolu le problème du jugement, pourtant je les porte.
Francine
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Alléger ma vie. Je suis fatiguée parfois d’avoir tant d’objets autour de moi qui ne me servent plus ou qui ne me servent qu’occasionnellement. D’autres en profiteront et moi, je serai plus légère et peut-être un peu plus riche.
Jean-François
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Distanciation deux verges valent mieux qu'une. Comme si tout d’un coup je me trouvais emprisonné sans trop m’en plaindre.
Louise
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Mes stratégies étaient d'apprendre le plus possible sur ce virus. Je passais beaucoup de temps à l'ordinateur, j'écoutais religieusement les nouvelles et les livraisons quotidiennes de mon gouvernement. Je visitais chaque jour Facebook et j'échangeais avec mes ami(e)s. J'apprenais et je suivais les consignes recommandées.
Micheline
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Sont apparus ces collants près de l’ascenseur pour établir des mesures de distanciation.
Francine
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Je ne compte absolument pas sur le gouvernement qui a tenté de m’infantiliser. J’ai réorganisé et repensé mes activités. Je me suis créé un beau balcon et un jardin puisque je ne voyage pas cette année.
Lou
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Je suis aussi une femme de plein air, des grands espaces. Je suis habituée à séjourner régulièrement dans des espaces sauvages – la sauvagitude que j’appelle – et j’ai trouvé très difficile de ne plus y accéder, en raison de la fermeture des régions.
Le projet
Les aînés durant le confinement
Si la crise de la COVID nous a tous touchés d’une manière ou d’une autre, elle a eu un impact certain sur la population des ainés. Le projet « Confinés, ensemble » est né de la volonté de comprendre l’expérience de la COVID telle que vécue par cette population, comprendre pour mieux agir en retour.
« Confinés, ensemble » s’adresse aux personnes de plus de 60 ans habitant seules, aux personnes de plus de 60 ans demeurant en résidence pour ainés et aux personnes de plus de 60 ans appartenant à la communauté LGBTQ.
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À travers la photographie, qui est un média puissant de communication de même qu’une forme d’art, les participants sont invités à offrir leur point de vue sur les mesures sanitaires, à documenter l’impact de ces mesures sur leur quotidien et leur bien-être, ainsi que les stratégies de résilience qu’ils ont pu mettre en place pour s’adapter à cette situation exceptionnelle.
Les expériences des uns et des autres sont ensuite partagées en groupe lors d’ateliers virtuels qui deviennent des lieux d’échanges et de débats. C’est ainsi un petit bout de vie, de même que de chemin qui unit nos participants pendant un temps, suspendu, pour regarder le monde, son monde, autrement.
L'équipe
Olivier Ferlatte
Co-chercheur principal
Olivier Ferlatte est professeur adjoint au département de médecine sociale et préventive à l’École de santé publique de l'Université de Montréal et Chercheur au centre de recherche en santé publique. Ses travaux de recherche sont axés sur la relation entre la stigmatisation, la marginalisation et la santé mentale. Ses travaux scientifiques de sont basés sur plusieurs méthodologies (Qualitative, Quantitative, Méthode artistique, Approches mixtes) et sont motivés par un intérêt particulier pour l’engagement communautaire et la participation des personnes touchés par les inégalités en santé en tant que partenaire de recherche.
Réjean Hébert
Co-chercheur principal
Réjean Hebert détient un diplôme de médecine en gériatrie de l’Université de Sherbrooke et une maîtrise de philosophie en épidémiologie de l'Université de Cambridge. Il a été le premier directeur scientifique de l'Institut du vieillissement des Instituts de recherche en santé du Canada, après avoir créé le Centre de recherche sur le vieillissement de l'Institut universitaire de gériatrie de Sherbrooke, dont il a tenu les rênes jusqu'en 2001.
Katherine L. Frohlich
Co-chercheure
Katherine L. Frohlich est Professeure Titulaire au Département de médecine sociale et préventive à l’École de Santé Publique de l’Université de Montréal (ESPUM) et Chercheuse Associée au Centre de Recherche en Santé Publique (CReSP) de l’Université de Montréal (IRSPUM. Elle est co-titulaire de la Myriagone Chaire McConnell-UdM en Mobilisation des Connaissance Jeunesse. Ses intérêts de recherché incluent une meilleure compréhension des façons que le milieu urbain façonne les inégalités sociales de santé. Sa recherche se trouve à l’interface entre la promotion de la santé, l’épidémiologie sociale et la sociologie de la santé.
Geneviève Gariépy
Co-chercheure
Geneviève Gariépy, professeure adjointe à l’ESPUM et chercheure à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal, est une épidémiologiste spécialisée en santé mentale et les déterminants sociaux de la santé.
Grégory Moullec
Co-chercheur
Gregopry Moullec possède un doctorat en Psychologie de la Santé de l’Université de Montpellier en France. Il est professeur adjoint sous octroi au Département de médecine sociale et préventive de l’École de santé publique de l’Université de Montréal (UdeM), et chercheur au Centre de recherche du CIUSSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal. Les travaux qu’il mène actuellement en promotion de la santé visent principalement à mieux comprendre l'impact des caractéristiques de quartier sur les habitudes de vie et le pronostic des populations atteintes de maladies chroniques, en déterminant notamment le rôle médiateur joué par la santé mentale.
Valérie Lemieux
Utilisatrice des connaissances
Valérie oeuvre à la direction régionale de santé publique de Montréal. Elle s'intéresse aux effets de l'isolement social et de la solitude sur la population vieillissante, ainsi qu'aux mesures ou politiques publiques qui favorisent l'inclusion et la participation sociale de la population aînée dans toutes les sphères de la société. Valérie possède également une expertise en littératie en santé. Elle a notamment développé un guide de pratique pour des communications accessibles destinés aux praticiens de santé publique.
Julie Karmann
Assistante de recherche
Julie Karmann est paysagiste concepteur et détient une maitrise en santé publique. Après des années exercées en agence d’urbanisme, elle décide d’axer sa pratique sur l’interface entre aménagement et santé. Julie est assistante à l’Université de Montréal, au CrCHUM et candidate au doctorat en santé publique à l’Université de Montréal.
Sonia Lu
Assistante de recherche
Sonia Lu est nutritionniste et éducatrice agréée en diabète. Désirant de mieux saisir les perspectives systématiques en lien avec la gestion des maladies chroniques, elle poursuit présentement sa maîtrise en santé publique à l’Université de Montréal. Avec l’intégration de l’approche de l’entretien motivationnel dans sa pratique, elle a eu la piqûre pour les méthodes de recherche qualitatives.
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